Clément Grenier : “Je ne calcule jamais” (archive hiver 2013)

A vos débuts, vous étiez déjà bien plus doué que les autres ?
Clément Grenier : C’est compliqué de répondre moi-même… Mais c’est vrai que chez les jeunes, ayant toujours été surclassé, je n’ai jamais joué dans ma catégorie. Puis je suis entré à l’OL à 11 ans avant d’intégrer le centre de formation à 15.
Votre progression a-t-elle alors été linéaire ?
Oui. J’ai aussi eu la chance de faire partie d’une très belle génération avec Alexandre Lacazette, Yannis Tafer, Sébastien Faure, Enzo Reale… On réussissait de belles saisons même si on n’a pas gagné de titres.
Vous jouiez à quel poste à l’époque ?
Tous les postes offensifs : milieu droit ou gauche, attaquant, n° 10… Puis j’ai disputé mon premier match en professionnel avec Claude Puel contre Nîmes en amical comme… avant-centre ! Avec Miré Pjanic, qui disputait aussi son premier match à Lyon, comme meneur de jeu derrière moi. On en rigole encore tous les deux parce que ce jour-là, c’est un peu comme s’il y avait eu deux numéros 10 devant. Sinon en pro, j’ai aussi joué milieu droit, gauche, 10 et 6.
Mais pour vous, quel est votre vrai poste ?
N° 10 derrière l’attaquant. C’est là où je me sens le mieux et où j’ai été le plus performant.
Parce qu’on se demandait si vous étiez d’abord un meneur de jeu ou plutôt un n° 8 relayeur ?
Je pense être capable de jouer aussi relayeur : n° 8 ou à côté du n°6. Mais, vu mes qualités, je vais être plus décisif en 10. Et même ...

---

Vous avez pu lire le début (8 %) de cet article. Pour lire cet article en entier et avoir accès à l’ensemble de notre site internet, vous pouvez vous abonner.

Abonnez-vous pour 1 an au prix de 19,90 euros.

Abonnez-vous pour 1 mois au prix de 3,90 euros.

Si vous disposez d'un compte sur notre site connectez vous.