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« On est Lyon, tout le monde nous déteste » (Lyon 1950, épisode 9)

Lyon 1950 est réputé pour sa présence très assidue en déplacements. Le groupe raconte son organisation pour suivre l’OL en France.

Quand on avait interviewé il y a dix ans les leaders des Ludgu et des Nucleo pour raconter l’histoire du virage Sud à Gerland, ils nous expliquaient accorder une importance primordiale aux déplacements dans les années 2000 et même s’ils étaient beaucoup moins nombreux qu’au virage Nord, ils étaient davantage présents en déplacement. Lyon 1950 a-t-il gardé cette culture du déplacement à ses débuts ?
Bertrand (un des fondateurs du groupe) : Oui. Souvent, on était deux voitures ou un « J9 » en déplacement. Et les BG (Bad Gones) étaient autant.
Anthony (un des fondateurs du groupe) : C’est la culture du Sud. Pourtant au début de Lyon 1950, on ne s’est pas dit : « Faudra que le groupe soit partout. » Mais très vite, ça a basculé.
Richard (membre du bureau de Lyon 1950) : C’est dans nos gènes. Quand je suis arrivé au Sud en 2008, c’est ce qu’on nous a inculqué, à nous les jeunes : tu te déplaces, en fait. Partir avec ta bande de copains pour poser tes couleurs à 800 ou 900 kilomètres de chez toi.
Martin (un des meneurs du groupe) : Et puis la bâche aussi.
Richard : Et puis poser ta bâche surtout…
Comment vous vous déplaciez aux débuts de Lyon 1950 avec forcément peu de moyens financiers et un petit nombre d’adhérents ?
Richard : Au début du groupe, c’était voitures et J9. A l’époque, on ne tournait qu’à ça. Combien de fois j’ai laissé mon nom chez Hertz (spécialiste de la location de véhicules) pour louer un J9 ou ...




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