« Vous nous donnez 2 000 dollars chacun, sinon vous ne repartez pas » (Lyon 1950, épisode 10)

Toute votre organisation en déplacements change-t-elle en Europe ?
Richard (membre du bureau de Lyon 1950) : Oui car il n’y a presque pas de déplacements en bus. Sauf pour des destinations proches des frontières françaises de l’Est : Allemagne, Suisse, Italie, Belgique… Quoiqu’on ait aussi fait Zagreb une année en bus : 17 heures de bus aller, 17 heures retour. (Le 7 décembre 2011, lire plus loin.)
(Martin sort une photo du parcage à Zagreb ce jour-là)
Martin (un des meneurs du groupe) : Ça dépend donc des destinations mais c’est très rare que le groupe organise un dép’ pour un match à l’étranger, sauf si c’est un déplacement en dessous de 1 000 bornes qui peut se faire en bus.
Fabrice (responsable déplacements de Lyon 1950) : On va d’ailleurs en bus à Hoffenheim car c’est juste sept heures de trajet. C’est comme si on allait à Bordeaux.
Martin : L’autre exception, ce sont les déplacements organisés par le club en avion. Dans ces cas-là, certains du groupe peuvent aussi se « greffer » à l’avion.
Comment vous achetez vos places ?
Fabrice : Comme pour un match en France, le groupe passe une commande auprès de l’OL.
Mais vous sondez d’abord vos adhérents ?
Richard : Non, cette fois-ci, on demande uniquement à notre noyau.
Fabrice : Oui, car la billetterie du club est ouverte à tout le monde. Donc le groupe passe sa commande à l’Olympique lyonnais pour le noyau puis chaque mec paye au groupe ce qu’il doit. Sachant qu’en Europe, c’est pas 10 euros la place maximum comme en L1.
Richard : C’est plus ...

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