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« A deux, on est plus forts » (Lyon 1950, épisode 5)

Créé en 2009, Lyon 1950 raconte ses relations avec les Bad Gones, dont la fondation remonte à 1987.

Quel est le regard de Lyon 1950 sur les Bad Gones ?
Martin (un des meneurs de Lyon 1950) : Il y a d’abord du respect parce que c’est le plus vieux groupe lyonnais. Même s’ils ne se revendiquent pas « ultras », c’est le groupe fondateur du mouvement ultra à Lyon. Ce sont eux qui ont lancé le truc, quoi. Ils ont d’ailleurs lancé bon nombre d’entre nous dans le mouvement ; moi, le premier. Il sont là depuis 1987 et on est en 2024. Malgré tous les groupes qui ont coulé, tous les soucis passés, ils sont toujours là. Donc franchement, respect aux Bad Gones.
Richard (membre du bureau du groupe) : Complètement.
Quels sont vos rapports avec eux ?
Anthony (un des fondateurs de Lyon 1950) : A nos débuts, on avait des rapports assez neutres : pas d’animosité mais pas de vraie proximité non plus. Puis avec les années, il y a eu un rapprochement. Des liens se sont créés, notamment via des mecs ayant « fait » les deux virages par exemple. Et aujourd’hui, on a des rapports assez proches, avec des vrais échanges et des gars qui se connaissent très bien.
Martin : Il y a une très bonne entente avec les « BG » (Bad Gones) via des échanges réguliers. De leur côté, avec le temps, les Bad Gones ont dû voir que notre groupe grandissait, prenait du poids, devenait vraiment crédible. Du coup, grâce à la maturité des personnes composant les deux bureaux – chez eux et chez nous –, en discutant, ...




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